On a cru pendant longtemps que le Suaire de Turin constituait une preuve indéniable de la crucifixion et de la résurrection de Jésus. Pourtant, si l‘on en croit les résultats de la datation au Carbone 14 de 1988, il s‘agirait d‘un objet datant du Moyen-Âge.

Depuis lors, les sceptiques le considèrent comme un faux ingénieux, d‘autres rétorquent que tous les résultats des recherches prouveraient son authenticité et que, même avec les méthodes modernes, on ne saurait reproduire l‘image elle-même. Pour beaucoup le Suaire reste donc un mystère non résolu.

Qu‘est ce linge en réalité? Selon la thèse de l‘auteur c‘est surtout une pierre d‘achoppement, quelque chose qui dérange. Ce qu‘il révèle est tellement incroyable et surprenant qu‘il vaut mieux ne pas s‘en occuper. Les spécialistes de la médecine légale reconnaissent tous que le Suaire a recouvert le corps d‘un homme crucifié. Certains d‘entre eux sont absolument convaincus que cet homme était encore vivant.

S‘agissait-il vraiment de Jésus? A-t-il survécu à la crucifixion ? La datation au Carbone 14 est-elle erronée?

Tous ceux qui connaissent le contexte de cette datation au Carbone 14 savent dans quelles conditions scandaleuses elle a été réalisée. Mais la preuve est elle suffisante pour que l‘on puisse parler de fraude comme le fit par exemple le Jésuite allemand, le Professeur Werner Bulst, dans son livre de 1990? Jugez par vous-même.

Ce livre, au format EBOOK, intéressera celui qui souhaite rechercher, sans arrière-pensée, le fondement historique de la religion chrétienne

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