web hit counter

Un éclairage électrique
dans l'Égypte antique ?

eBooks      English      mail

Cet étrange bas-relief 
dans une des chambres souterraines de Dendérah, 
ressemble à une grosse ampoule électrique. 
Cet artefact est à rapprocher de la pile de Bagdad.    Ces bas-relief dans le Temple d'Hathor à Dendérah, laissent à penser que l'Egypte antique connaissait peut-être l'éclairage électrique.
Bas-reliefs des chambres souterraines du Temple d'Hathor à Dendérah en Egypte.
montrant d'étranges objets d'apparence technique.

Le bas-relief ci-dessus, une fois reconstitué, 
montre la structure de cet étonnant objet technique 
qui ressemble à une grosse ampoule électrique.    Le bas-relief ci-dessus, une fois reconstitué,  
montre deux objets étranges ressemblant à un système d'éclairage de l'Egypte antique.
Cette reconstitution des bas-reliefs de Dendérah montre l'étonnante structure
de ces objets ressemblant à un étrange système d'éclairage.
Quelle pouvait bien être la fonction réelle de cet énigmatique installation électrique?


les lampes de Dendérah

Dans les chambres souterraines du Temple de la déesse Hathor à Dendérah en Egypte, on trouve sur les murs de curieux bas-reliefs représentant des objets techniques ressemblant étrangement à de grosses lampes électriques. Dans l'Egypte antique, le nom d'Hathor signifiait « demeure du Soleil ». La métaphore est donc claire. Hathor symbolisait la lumière et l'énergie.

Le temple de la déesse Hathor à Dendérah en Egypte, aurait été construit vers l'an 1000 avant Jésus-Christ.
Le Temple de Dendérah aurait été construit il y a environ 3000 ans.
Il n'a jamais été achevé, mais Grecs et Romains l'ont modifié en 54 av JC.
On y vénérait la déesse Hathor dont le nom allégorique signifie « demeure du Soleil ».


Ces étranges bas-reliefs de Dendérah, montrant d'inexplicables artefacts, sont à rapprocher d'un autre antique artefact : la pile de Bagdad. Peut-on en conclure que certains initiés (prêtres, pharaons, rois, dignitaires,...) des civilisations antiques de l'Egypte et de la Mésopotamie possédaient une certaine technologie électrique qui faisait partie de leur savoir caché ?


L'électricité, un savoir caché de l'Egypte antique

La connaissance de l'électricité par les civilisations antiques est basée sur des fondements modernes solides. C'est ainsi que dans l'antiquité grecque, l'ambre jaune (en grec êlektron) a donné son nom à l'électricité, et a permis de découvrir les effets électrostatiques.

Cependant, les anciens grecs ne sont pas allés au delà de ces effets électrostatiques, alors que l'Egypte antique semble avoir eu un savoir caché en ce domaine si l'on considère les inexplicables artefacts de Dendérah, et aussi les déclarations de Solon et Platon sur les Premiers Temps de l'Egypte. D'ailleurs les quelques savoirs technologiques des anciens grecs semblent issus de ceux de l'Egypte antique. Tout semble indiquer que ces connaissances ésotériques faisaient partie des secrets dont l'élite des prêtres d'Héliopolis avait la garde, et dont les textes des temples et des pyramides ne parlent que sous forme de métaphores et d'allégories.


Le message ésotérique des bas-reliefs de Dendérah

Mais quel message ésotérique les anciens égyptiens ont-ils laissés à travers ces étonnants bas-reliefs de Dendérah ? Que voit-on exactement si on les regarde avec l'oeil de celui qui possède une culture technique ?

L'un des bas-reliefs de Dendérah en Egypte, 
redessiné pour une explication détaillée de ses différents éléments.    1 : Anubis (dieu du passage).
   2 : Amon-Rê (lumière cachée).
   3 : Nehebka (déesse de la magie).
   4 : Egyptien (taille: environ 160 cm).
   5 : Petits dieux servant de support.
   6 : Lampe? (taille: 240 cm x 60 cm).
   7 : Lumière? (serpent de feu).
   8 : Fil électrique? (queue du serpent).
   9 : Isolateur? (pilier Djed).
 10 : Alimentation? (autel).

L'omniprésent dieu Anubis (1) à tête de chacal ou de chien (dieu du passage vers l'autre monde) semble présider la scène. S'agit-il du dieu ou du Chef des prêtres revêtu du masque d'Anubis et surveillant l'opération ? On voit ce qui ressemble fortement à une énorme lampe (6) dont la taille, par rapport à l'égyptien (4) qui la tient (les égyptiens avaient une taille moyenne d'environ 160 cm, si l'on en croit les momies et les sarcophages), est d'environ 230 à 250 cm de long sur 50 à 70 cm dans son plus grand diamètre. Un « fil électrique » (8) part de la « cathode » de cette lampe et va vers une sorte de « boîtier d'alimentation » (10) sur lequel le dieu Amon-Rê ou Amon-Râ (2), lumière cachée, est assis.

Le dieu Amon-Rê supporte la lampe avec l'aide de Nehebka, la déesse de la magie (3). Ils se trouvent de part et d'autre de ce qui ressemble étrangement à un isolateur haute tension, le pilier Djed (9). Sur le haut de cet isolateur se trouve une « anode haute tension ». Les deux dieux, Nehebka et Amon-Rê de part et d'autre de cette anode, ne semblent pas affectés par la magie de l'électricité. Le « serpent dont la morsure de feu est mortelle » (7) est enfermé en toute sécurité dans cette grosse lampe (6), sous contrĂ´le humain (4).


Comment ces bas-reliefs sont-ils décrits traditionnellement ?

Ces bas-reliefs embarrassent les égyptologues qui les considèrent comme obscurs. Pour eux il s'agit du « culte du serpent ». Toutes ces représentations ne sont que des symboles religieux et rien de plus. On voit donc avec cette interprétation que le savoir ésotérique des prêtres égyptiens antiques est bien protégé. La compréhension de certains bas-reliefs et textes antiques, considérés comme obscurs par les égyptologues, serait donc peut-être seulement un problème de culture technique.

Comparaison de deux descriptions des « lampes de Dendérah »

TECHNIQUE
La « lampe » vue par un électronicien
TRADITIONNELLE
La « lampe » vue par un égyptologue

L'électronicien du 21ème siècle donnera la description de ce qu'il voit: « C'est une étrange lampe électrique. Par rapport à l'égyptien qui la tient (taille entre 1,50 et 1,60 mètres) ses dimensions sont d'environ 2 à 2,50 mètres de long sur 50 à 70 cm dans son plus grand diamètre. Tout ceci ressemble à un énorme système d'éclairage inconnu. »

Une lampe à incandescence de notre époque.  Une lampe halogène de notre époque.
Ces deux lampes de notre époque,
à incandescence à gauche,
halogène à droite,
ressemblent étrangement
à la « lampe de Dendérah » ci-contre.


Les égyptologues traditionnels, qui n'ont pas une vision technique, décriront la scène de la façon suivante: « Tout ceci est symbolique: c'est le culte du serpent. Le serpent est le symbole du soleil levant, du feu cosmique. La lampe est le symbole du ciel matinal. Les personnages les entourant sont des représentations de l'éternité. ».

La lampe de Dendérah.
Cet objet dit du « culte du serpent »
ressemble étrangement aux lampes ci-contre.


L'électronicien du 21ème siècle ajoutera qu'il voit: « un fil électrique partant du culot (en forme de fleur) de la lampe et allant vers une sorte de boîtier d'alimentation »

Pour fonctionner une lampe de notre époque doit être alimentée par une source d'énergie.
Cette lampe de notre époque a besoin
pour fonctionner d'être raccordée
à une « alimentation » électrique.

Les égyptologues traditionnels diront que: « le dieu serpent est dans le ciel matinal et que sa queue sort de cet espace pour aller dans l'autel sur lequel est assis Amon-Rê ».

La lampe de Dendérah.
Le dieu « serpent avec sa queue »
connectée à l'autel d'Amon-Rê
ressemble au branchement ci-contre.

L'électronicien du 21ème siècle ajoutera encore: « entre le dieu Amon-Rê (ou Amon-Râ) à droite, et la déesse de la magie Nehebka à gauche, se trouve un étrange support qui ressemble curieusement à un isolateur haute tension de notre 21ème siècle ».

Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.   Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.   Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.
Trois isolateurs haute tension d'aujourd'hui
à comparer avec le pilier « Djed » ci-contre.

Les égyptologues traditionnels diront encore que: « ce qui touche le serpent, c'est le pilier Djed, assimilé à la colonne vertébrale d'Osiris, siège du fluide vital. Ce pilier représenterait un arbre aux branches coupées jouant un rĂ´le dans les rites de fertilité ».

Le djed ou arbre-pilier de Dendérah.
La métaphore de l'arbre-pilier aux branches coupées
cache peut-être un savoir technique ancient.

L'électronicien du 21ème siècle résumera ainsi cette description: « Ce que nous voyons est donc, probablement, une sorte de grosse lampe électronique ayant sur le cĂ´té gauche une cathode sur laquelle arrive un fil d'alimentation, et sur le cĂ´té droit une anode constituée par deux bras montés sur un isolateur haute tension.

La taille de cet isolateur haute tension et le nombre de ses anneaux d'isolation, permettent théoriquement d'estimer la tension qui pourrait être de l'ordre de 12 à 48 kilovolts (4 anneaux de 3 à 12 kilovolts), peut-être même plus. Entre la cathode et l'anode apparaît, sous la forme d'un serpent, une décharge électrique provoquée par la haute tension présente entre ces deux électrodes. »

Les égyptologues traditionnels donneront probablement le résumé suivant: « Ce bas-relief est symbolique. Il représente, sous forme allégorique, un culte égyptien très ancien, celui du serpent. Le serpent est le symbole du soleil levant, du feu cosmique, et surtout il est le symbole de l'autorité du pharaon. C'est une divinité des Premiers Temps de l'Egypte.

Le dieu serpent, dont la morsure de feu est mortelle, est dans le ciel matinal et sa queue sort de cet espace pour aller rejoindre l'autel d'Amon-Rê accolé au pilier Djed. Les 4 barres horizontales du pilier sont les vertèbres cervicales d'Osiris, dieu de la fécondité, de la résurrection et de la stabilité ».



Un essai de décodage des métaphores et des allégories des inscriptions

Qu'en conclure ? Doit-on regarder les messages (hiéroglyphes, inscriptions, bas-reliefs, monuments) de l'antique Egypte uniquement avec un oeil d'égyptologue traditionnel ? Il ne faut pas perdre de vue que l'égyptologie traditionnelle est une discipline relativement récente qui date de la fin du 18ème siècle (fondation de l'Institut d'Égypte par Bonaparte en 1798), et qui a été, aux 19ème et 20ème siècles, l'apanage très fermé de quelques spécialistes.

Comme on le voit dans le tableau comparatif ci-dessus, la compréhension des métaphores et des allégories des inscriptions du Premier Temps est peut-être avant tout un problème de culture technique. L'évolution scientifique et technique du 21ème siècle nous permet maintenant de porter un nouveau regard sur ces messages.

L'égyptologue traditionnel admire et étudie ces messages comme on admire et on étudie un tableau. L'égyptologue de terrain les découvre d'une façon très physique en faisant des fouilles avec pelle, truelle et pinceau en mains. Ces messages ont un sens souvent obscur et les seuls outils disponibles pour les décoder sont d'une part la pierre de Rosette (qui n'a pas permis de traduire correctement tous les textes, notamment plusieurs textes d'Abydos, d'Edfou, et de Dendérah qui restent obscurs) et d'autre part un certain nombre de bâtiments, d'objets, de maquettes, et d'inscriptions sur mur, stèle, sarcophage et papyrus qui lui permettent de faire des hypothèses et d'avancer des explications. Mais ces hypothèses et ces explications sont-elles les seules valables dans tous les cas ?

Les étranges « machines » de Dendérah sont elles des systèmes d'éclairage antiques ? Est-ce ainsi que l'Egypte antique éclairait l'intérieur de ses Temples et de ses Pyramides ? Ou bien, du fait de la présence d'Anubis et du pilier Djed, serait-ce un étrange « processus technique » de résurrection ? Qu'en conclure ?



Un éclairage électrique dans l'Egypte antique ?

Dans la vie courante, on sait que les anciens égyptiens employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient des traces de suie et autres résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.

Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, tel que par exemple celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche. C'est la même chose dans les tombeaux des artistes réputés et des hauts fonctionnaires qui étaient enterrés près des rois. Dans la photographie ci-dessous, qui montre l'intérieur du tombeau de Sennedjem, « gardien de la Place de la Vérité », les fresques ne présentent aucune trace de suie et sont d'une extraordinaire fraîcheur.

L'intérieur du tombeau de Sennedjem, gardien de la Place de la Vérité, montre des fresques sans traces de suie et d'une extraordinaire fraîcheur.
A Thèbes, l'intérieur du tombeau de Sennedjem,
montre des murs et un plafond sans traces de suie
ou autres résidus gras de combustion,
et les fresques sont d'une extraordinaire fraîcheur.

Alors comment ont-ils fait ? Connaissaient-ils réellement le principe de l'éclairage électrique et l'utilisaient-ils dans la vie courante, ou était-ce réservé uniquement aux prêtres et aux initiés ? Avaient-ils découvert ce savoir technique par eux-mêmes ou le tenaient-ils d'une autre civilisation plus ancienne encore ?

Certains chercheurs ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs profonds et des salles souterraines. Malheureusement on ne peut pas retenir cette hypothèse. Les miroirs d'argent des égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place.

D'autres chercheurs disent que l'on trouve des traces de suie et autres résidus gras de combustion sur les murs de certains monuments, comme c'est le cas, par exemple, à Dendérah. Ce n'est pas une preuve en soi, ni dans un sens ni dans l'autre. Nombreux sont les monuments de l'Egypte antique qui ont été visités et pillés au cours des siècles à lueur de torches et de lampes à huile. Ces traces, quand elles existent, sont donc à mettre plus sur le compte des visiteurs et des pilleurs que sur celui des bâtisseurs.


Avaient-ils la technologie nécessaire pour le faire ?

Peut-on donc raisonnablement supposer qu'il existait une sorte d'éclairage électrique dans l'Egypte antique et que les égyptiens du Premier Temps d'Horus avaient la technologie nécessaire pour le réaliser ? Si oui, comment ont-ils pu produire ces grosses ampoules et y faire le vide ? (si tant est, évidemment, qu'il s'agit bien d'ampoules de verre dans lesquelles on aurait fait le vide).

Dans la pyramide de Dahshur, construite par Snefru (2613 à 2589 avant JC), on aurait trouvé, au niveau des fondations, une grosse dalle de verre fabriquée artificiellement, et dont le poids a été évalué à 35 tonnes. Cette dalle pourrait apporter la preuve que les anciens égyptiens savaient travailler d'importantes masses de verre.
  
L'Egypte des Premiers Temps connaissait l'industrie du verre soufflé.

Par ailleurs, il semblerait que l'Egypte des Premiers Temps connaissait l'industrie du verre soufflé. Cette industrie antique aurait été très florissante, au temps des pharaons, dans la ville secrète de Tantah (située entre le Caire et Alexandrie). Cependant, l'invention du verre lui-même est attribuée, soit aux Phéniciens, soit aux Egyptiens (les Phéniciens n'auraient été, dans ce dernier cas, que de simples propagateurs).

Selon certaines théories récentes, l'origine de l'industrie antique du verre serait mésopotamienne. De Mésopotamie elle serait ensuite passée en Egypte pour revenir à nouveau en Mésopotamie, au gré des évolutions historiques et politiques de ces pays.

La question est donc de savoir si les « lampes » de ces étranges bas-reliefs de Dendérah pouvaient fonctionner et étaient réalisables avec les moyens de l'Egypte des Premiers Temps ? Différents chercheurs, électriciens ou électroniciens, ont étudié ces bas-reliefs et ont démontré qu'ils pouvaient fonctionner comme des lampes.

Deux chercheurs, W. Garn et Erich Von Däniken, ont même réalisé une maquette de ces lampes en laboratoire. Cette maquette fonctionne comme on peut le voir sur les photographies ci-dessous.

La lampe de Dendérah a été reconstruite en laboratoire.  La haute tension est appliquée entre cathode et anode.  Une lumière rose-violette apparaît dans l'ampoule.
Une « lampe de Dendérah » a été reconstruite en laboratoire,
prouvant ainsi qu'une telle lampe pouvait fonctionner.
Malheureusement l'éclairage obtenu est faible
et l'énergie électrique nécessaire pour le rendre efficace serait importante.

Cette lampe ainsi reconstituée reste cependant une maquette. Bien sûr elle ressemble aux bas-reliefs de Dendérah, mais elle est beaucoup plus petite et c'est ce qui a permis sa réalisation. Comme nous l'avons montré plus haut, la taille des lampes de Dendérah (par rapport à l'égyptien représenté sur le bas-relief et qui sert de référence) doit être de l'ordre de 2 à 2,50 mètres de long sur 50 à 70 cm de diamètre. La maquette ne fait qu'environ 60 cm de long sur 20 cm de diamètre.

Cette maquette est assimilable à une lampe fluorescente remplie d'un gaz sous basse pression. La lumière violette est produite par la décharge électrique dans le gaz. C'est une expérience que l'on fait en dernière année dans les écoles, en travaux pratiques de physique, avec des tubes formés d'une ampoule contenant un vide suffisant (tube à vide) ou un gaz ionisé (tube à gaz) et deux électrodes qui émettent un faisceau électronique sous l'action de la haute tension qui leur est appliquée.

Sur le bas-relief de Dendérah, comme sur la maquette, l'une des électrodes est située dans le culot (en forme de fleur sur le bas-relief), et l'autre est constituée par les deux petits bras du pilier isolateur émergeant dans l'ampoule. Cependant, le faisceau de lumière qui apparaît entre les électrodes de la maquette ne ressemble pas vraiment au serpent filamenteux du bas relief. De plus, la lumière produite est très insuffisante pour fournir un système d'éclairage valable, car elle n'est vraiment visible que dans une chambre obscure. Cette expérience, bien que très intéressante, ne démontre pas pour l'instant qu'il pourrait s'agir d'un système efficace d'éclairage de l'Egypte antique.



Expériences de résurrection ?

Qu'en conclure ? Ce ne sont peut-être pas des lampes, ou le problème est peut-être mal posé. D'autant que l'on trouve sur les murs de Dendérah différentes sortes d'ampoule. Certaines ont les deux petits bras du pilier isolateur émergeant dans l'ampoule, d'autres sont « branchées » au milieu du pilier, d'autres encore ont ces deux petits bras (représentant l'indispensable anode) hors de l'ampoule. Tout se passe comme si le sculpteur, qui a réalisé ces bas-reliefs, ne comprenait pas vraiment ce qu'on lui avait demandé de représenter ...

Dans les cryptes souterraines de Dendérah les sculpteurs travaillaient certainement sous la direction de prêtres initiés. Ces derniers étaient les dépositaires de secrets provenant des temps immémoriaux, de l'époque où « les dieux et les demi-dieux » régnaient sur terre, de l'aube de la civilisation. Les différentes sortes d'ampoule que l'on trouve sur les murs de ces cryptes s'expliquent probablement par l'incompréhension des sculpteurs vis à vis des descriptions données par ces initiés dépositaires des secrets d'une science antique qu'eux-mêmes ne comprenaient peut-être pas vraiment.



  Livres « imprimés à la demande » sur les mystères de l'antique Égypte

Cliquez ICI pour acheter cet essai édité en livre broché, format KDP Amazon 
Aux temps mythiques des demi-dieux...
L'antique Égypte avait-elle le secret de la résurrection et de l'énergie libre ?

Les pyramides d'Égypte auraient été construites pour servir de prodigieux systèmes de résurrection destinés aux Pharaons et aux initiés. Ces machines fantastiques sont représentées sur les murs des souterrains du temple de la déesse Hathor à Dendérah. Mais on découvre aussi, dans ce temple et dans d'autres de l'antique Égypte, d'étranges bas-reliefs ressemblant à des installations d'électrochimie, de transmission de l'énergie, d'éclairage électrique, et autres objets impossibles qui ne devraient pas exister dans ces monuments datant de plusieurs millénaires.

La compréhension de ces bas-reliefs et textes antiques, considérés comme obscurs par les égyptologues, serait peut-être seulement un problème de culture technique. Ils sont habituellement interprétés comme étant des symboles religieux.

Dans ce livre, qui comporte plus de 50 illustrations la plupart en couleurs, l'auteur enquête sur ces « objets impossibles » à Dendérah, Abydos, Edfou, Gizeh, Saqqarah. Pour commander en ligne ce livre imprimé à la demande, cliquez sur le lien de votre pays: FR, DE, ES, IT, US, UK, JP


  Livres Numériques (eBooks) présentant les recherches et les hypothèses sur ces sujets

Cliquez ICI pour acheter cet essai édité en livre électronique, format Kindle Amazon 
La science secrète de l'ancienne Égypte
Une installation de résurrection décrite dans les souterrains de Dendérah ?

Situé sur la rive ouest du Nil, le temple égyptien de Dendérah est à l'écart des grands circuits touristiques. Ce temple daterait des temps mythiques des « Serviteurs d'Horus », sortes de demi-dieux qui précédèrent les pharaons humains il y a plus de 5000 ans. La plupart des visiteurs ne savent pas qu'il renferme dans ses souterrains des images représentant d'étranges artefacts. Ces images sont gravées depuis des millénaires et ces artefacts semblent issus d'un savoir inconnu.

L'origine de ces images souterraines est incertaine et semble beaucoup plus ancienne que le temple actuel, qui date de l'époque ptolémaïque. S'agit-il de la représentation d'un savoir caché des prêtres et des initiés de l'antique Héliopolis? Selon les inscriptions relatant la fondation du temple de Dendérah, son plan s'inspire de très vieux documents datant des « Premiers Temps de l'Égypte ». Ce temple fut ensuite embelli et restauré au cours des siècles suivant une chaîne sacrée jamais interrompue.

L'auteur présente dans ce livre numérique les recherches et les différentes hypothèses faites actuellement sur ces objets insolites.
Pour commander en ligne ce livre numérique, cliquez sur votre monnaie: EUR, GBP, USD, CAD, BRL, INR, JPY


Cliquez ICI pour acheter cet essai édité en livre électronique, format Kindle Amazon 
Un mystère historico-religieux
Des traces d'une fantastique résurrection imprimée sur le lin d'une étrange relique ?

Entre 1307 et 1314, sous le règne du roi de France Philippe le Bel, eut lieu le célèbre et terrible procès des Templiers. Au cours de ce procès, les inquisiteurs accusèrent les Templiers d'adorer en secret une « tête » mystérieuse. Sous la torture, un chevalier templier, Raoul de Gizy, avoua avoir adoré une tête barbue qui ne pouvait être contemplée qu'après une longue initiation et pendant quelques instants seulement. De quoi s'agit-il?

Est-ce le « Baphomet » vénéré par les Templiers pendant leurs cérémonies secrètes d'initiation? Est-ce le « Mandylion » connu aussi en Orient sous le nom d'image d'Édesse? Est-ce le « Suaire de Turin » montrant sur du lin l'image d'un homme de face et de dos qui témoignerait d'une fantastique résurrection? L'auteur essaie de décoder ce mystère historico-religieux à partir de divers documents et d'une étrange image sculptée au 14ème siècle par des Moines Rouges (les Templiers étaient appelés ainsi en Bretagne). Ce « Mandylion Templier », désigné ainsi par l'auteur, a été retrouvé en Septembre 2001 sur un petit calvaire au lieu-dit du « Champ de la Croix Rouge » non loin d'une ancienne commanderie templière sur le Menez-Hom, en Bretagne (France).

Pour commander en ligne ce livre numérique, cliquez sur votre monnaie: EUR, GBP, USD, CAD, BRL, INR, JPY