Pour vous permettre de découvrir son livre « La Gloigloire, et autres nouvelles » l'auteur Sancho Panza vous propose d'en parler avec lui. ![]() ![]() |
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« La Gloigloire, et autres nouvelles » par Sancho Panza Sancho Panza dans la tradition des nouvelles de Jean Paul Sartre, le mur, l'enfance d'un chef, Érostrate, nous propose des nouvelles, parfois inspirées de faits divers qui évoquent des personnages qui comme Icare se sont brulés les ailes à voler trop près du soleil. Sancho Panza a écrit deux recueils de nouvelles en français aux éditions Aquillrelle : « La gloigloire et autres nouvelles » et « Lamento largo et autres nouvelles »; certaines sont en partie autobiographiques d'autres non, certaines ont été écrites à la sortie de l'adolescence, d'autres plus récemment; le style est donc différent. Born in Dakar, the author took a liking to poetry and started writing poems from an early age. During his sociology studies he learnt a lot about European history, part of which finds its way in his poetry. He has taken part in a painting exhibition and in several photography exhibitions with French associations. In 1997, he stayed in Bournemouth (England) where he started writing poetry in English. Since then he has continuously been in touch with native speakers, with a declared aim to improve his knowledge and control of the language. Panza's poetry has been often included in various anthologies, and has been short-listed in several poetry contests. He hopes that the readers of this book will enjoy reading his poetry. Aquillrelle |
Comptes-rendus de lecture pour le premier recueil « La Gloigloire, et autres nouvelles » de Sancho Panza Bruno Stéphane habitait dans le 19ème arrondissement de Paris, près des buttes-chaumont. Son père était médecin. Un médecin généraliste ou omnipraticien comme on dit maintenant. Dans son cabinet, qui était aussi son habitation principale, il rencontrait parfois des patients originaux comme ce Germain Lambert, réalisateur de télévision pour des chaînes nationales. Son fils préparait une licence de sociologie à l'université de Nanterre, qui n'était pas pourtant très proche de son logis, mais Nanterre sentait bon la révolte, c'était « la folie », comme on l'appelait aussi. Avis complet Germain Lambert avait passé une maîtrise de philosophie dans cette même université en 1968. Son père pensait donc que les liens pourraient se tisser entre Bruno Stéphane et Germain Lambert, et Germain Lambert était prêt à l'introduire comme journaliste au « desk ». Son père cependant n'avait pas briefé suffisamment Bruno Stéphane et celui-ci ne voyait pas tellement l'intérêt qu'il y avait à quitter le cocon familial sans diplôme en poche, s'il quittait la faculté pour travailler comme journaliste... Avis complet |